top of page

Un Peu d'Optimisme Bordel !

Un peu d'optimisme bordel

Texte et mise en scène : Tom Porcher

 

Jeu : Marina Bincoletto, Myrtille Borel, Fantin Curtet, Colin Melquiond, Louis Vasquez

 

Création Lumière et Régie : Mathieu Tomassini

 

 

 

 

Un Peu d'Optimisme Bordel est un spectacle pour tous ceux qui aiment les biches, les photos de familles, les steaks hachés, les moineaux, Dieu, les gâteaux, Schubert, et la vie. Que ceux qui n’aiment pas la liste ci-dessus viennent quand même, nous essayerons de les faire changer d’avis.


La vie est belle, alors on a essayé de faire un beau spectacle.

La presse en parle

Dans cette fable au croisement du conte, du fantastique et du drame réaliste à la Ibsen, les comédiens sont d’une rare justesse. Ils s’amusent tout en étant entièrement à ce qu’ils disent. Cela on le doit à l’écriture du jeune metteur en scène Tom Porcher, qui a su trouver une langue quotidienne et poétique, efficace et lyrique, drôle et dure. (…) Il y a dans cette fable macabre une ingéniosité ravageuse. Ce n’est pas une histoire à la Candide où le protagoniste ingénu sert uniquement à dénoncer d’affreuses superstitions et à pourfendre des préjugés. Ce personnage principal, surnommé sobrement ridicule, on l’aime pour ce qu’il est : tantôt tempête d’optimisme et tantôt simple bouffée d’air frais. On se dit sans cesse c’est bête mais c’est vrai et quand l’ode au bonheur se termine sur « A perfect day » de Lou Reed, on se sent comme un ballon de baudruche lâché dans le ciel.

Paul de Damvilliers, Les nouvelles répliques, 3 octobre 2015

 

 

Le texte est ici intéressant à plus d’un titre : c’est simple mais bien vu. Il y a de la fantaisie que l’on prend d’abord pour une parenthèse récréative, mais qui sert au final l’évolution de l’histoire jusqu’à son dénouement. L’apport du burlesque est donc ici plus sérieux qu’il n’y paraît puisqu’il est un véritable carburant pour le développement de l’intrigue, comme dans tous les contes qui sont réussis. (…) Autant d’éléments simples mais très bien agencés qui font de ce spectacle une véritable réussite.

Saad, La tête du spectateur, 28 Avril 2013

bottom of page