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La Vie Sans Mur

 

La Vie sans Mur

Une fable surréaliste dans laquelle Tintin ne sera pas représenté

 

Mise en scène : Simon Pineau

Regard Extérieur : Fantin Curtet

 

Jeu : Florent Barret-Boisbertrand, Charlène Girin, Lisa Robert

 

 

 

 

 

La vie sans mur, ce pourrait être :

 

Une après-midi avec des amis autour d'une piscine en intérieur remplie de gros corn-flakes. Sauter de corn-flakes en corn-flakes. Une petite fille pleure sur le rebord, ses mains sont collées au sol…

 

Ou encore:

 

Plongée en eaux peu profondes. Marcher dans une tour gonflable blanche pour cinquante euros les deux heures. Chercher quelqu'un dans l'escalier et lui demander qui est son écrivain préféré ? Sur la place en bas des escaliers, un homme part en disant qu'il aime Beckett et que BHL est con. Nous sommes outrés.

 

La vie sans mur est un spectacle écrit à partir de rêves. Chacun d'eux est unique et raconte l'époque dans laquelle nous vivons, malgré eux.

 

La vie sans mur est une fable surréaliste improvisée chaque soir. Laissez-vous faire, ce sera bleu.

 

La presse en parle

Totalement irracontable. Surréaliste sans aucun doute. La Vie sans Mur est un objet bizarre qui se veut mal foutu mais très bien ficelé, fait d’allers et de retours, de scènes sans grands rapports les unes avec les autres, d’apartés, d’appels à la participation du public aussitôt démentis, d’une succession de numéros d’acteurs limite déjantés qui structurent si bien le tout que l’on en vient à se demander si les trois acteurs ne sont pas un train de raconter l’histoire de la fameuse et fortuite rencontre d’une machine à coudre et d’une parapluie sur une table de dissection. (…) Irracontable je le répète, magnifiquement interprété, jubilatoire. A voir absolument.

Courir Car & Canton, 16 janvier 2016

 

La vie sans Mur est un théâtre libre, un théâtre de la feuille blanche et de la pensée vagabonde. On observe des comédiens s’efforçant d’embrasser nos impalpables rêves. (…) A vous de tisser des liens entre cette anecdote et votre conception du rêve car voilà l’entrée en matière d’un spectacle qui continuellement créé des ponts entre le collectif et l’intime, le social et le privé. On ne sait jamais si c’est très important ou si c’est insignifiant, si c’est léger ou lourd et comme dans nos rêves un flux continu d’idées nous emporte au grès du courant. L’équilibre d’un rêve est fragile. Il avance et soudain se brise. On y croit puis on y croit plus car c’est devenu trop fort ou bien encore on ne sait plus du tout de quoi il s’agit. Ces sensations le spectacle nous les fait vivre. Il se nourrit de décrochages et d’improvisation, c’est un vrai et bon spectacle vivant.

Paul de Damvilliers, Les nouvelles répliques, 3 octobre 2015

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